Avril 2024. Petit rayon librairie "Les livres qui m'ont touchée" en partenariat avec la librairie "Le quai de l'imaginaire" à Audierne.
Février 2023. Avec l''association Savoir Faire des îles du Ponant, nous avons un beau projet de création d'un verre des îles du Ponant, à partir de nos déchets!
Un très joli film a été fait sur le sujet, je vous laisse le découvrir.
Et bientôt j'utiliserai des émaux à partir de ce travail!!!
Avril 2022. Je récidive : petit rayon librairie "Les femmes et la mer", en partenariat avec la librairie "Le quai de l'imaginaire" à Audierne.
Juillet 2021. Petit rayon librairie "Les femmes et la mer", en partenariat avec la librairie "Le quai de l'imaginaire" à Audierne.
Avril 2021.
Mai 2020. Le chantier est terminé, L'Atelier/boutique est né.
Grand merci à tous ceux qui y ont contribué.
Mai 2019. Didier Marie Le Bihan, qui accueille déjà ma boutique, mon four et mon atelier d'émaillage, m'a généreusement (et le mot est faible!) proposé de construire mon atelier boutique collé à son hangar. Ça commence à prendre forme... Merci à Didier et à tous ceux qui contribuent à son édification.
Mars 2019. Petit film de 2.56 min sur ma petite personne, diffusé sur le site de Finistère Tourisme.
Octobre 2018. La vente par skype fonctionne.
Il est juste préférable d'avoir vu les pièces et d'avoir réfléchi à une petite sélection auparavant. Mais on peut essayer quand même ...
Arrivée d'un nouveau tour. Il sera en boutique pour que je puisse y tournasser.
Septembre 2018. Interview sonore sur Ouest Track Radio.
Juillet 2018. Malgré ma patience, ma détermination, et, l'accompagnement motivé de la mairie de l'île de Sein, ma recherche de location d'atelier boutique n'aboutit pas.
Il m'est donc toujours impossible d'accueillir des stages et je travaille toujours dans des conditions précaires et inconfortables. Mais je m'acharne à vivre ici...
Décembre 2016. Je touche enfin du doigt mon désir premier : réaliser des pièces hyper utilitaires en porcelaine. L’entonnoir à confiture, le beurrier à eau (pour l'instant) sont en recherche de forme/fonctionnalité. Un vrai bonheur.
Fin août 2016 : merci à ceux qui se reconnaîtront pour ces très jolies rencontres qui m'émeuvent encore.
Mes pièces font apparemment un lien entre moi et l'autre qui est parfois tout en tendresse et poésie.
Juin 2016 : bientôt les premiers marchés sur le continent (en France, comme on dit parfois ici). J'essaye pour la première année, je ne les fais pas pour l'argent, ce que je gagne sur l'île me suffit. C'est :
- pour montrer qu'on peut vivre de son activité sur l'île de Sein (qu'il y a plein de possibles sur cette île),
- pour montrer qu'on n'est pas obligé de se sacrifier, qu'on peut vivre de ce que l'on aime faire : "Si vous le voulez, vous le pouvez et vous devez le faire" petite phrase de Lucie Rie, grande dame de la céramique.
- pour rencontrer les personnes qui ont le mal de mer ?
Avril 2016 : je travaille dans un atelier de 10 m² pour le tournage, le séchage et l'émaillage (il en faudrait au moins cinq fois plus pour fabriquer de plus grandes pièces et accueillir des stages). Je dois ensuite marcher quelques minutes pour apporter les pièces crues, et donc encore fragiles, jusqu'au four, ce qui peut entrainer quelques sueurs froides, les jours de grand vent. Le four se trouve au siège de l'association Radooo qui m'accueille généreusement. Mais la partie du hangar dans laquelle il se trouve est un peu humide, et depuis décembre dernier, cela entraine la corrosion du brûleur, si bien que de petites particules de fer s'intègrent aux pièces en cuisson. Je viens juste de comprendre d'où elles proviennent. Sur l'île de Sein, même la porcelaine rouille ! Ces conditions sont un peu rudes, mais cette année, je devrais pouvoir avoir accès à un local qui résoudrait beaucoup de ces soucis, grâce au soutient de la commune. A suivre...
“La mémoire de
la porcelaine est redoutable. La structure obtenue tend à revenir à sa forme de départ.
Pendant le
montage, tout mouvement de pression ou de relâchement doit s’accomplir insensiblement, mais sans hésitation. Toute brusquerie est un traumatisme, toute faiblesse est une démission qui s’inscrit dans la matière comme dans le vécu d’un être. La cuisson, comme la vie, se chargera de
tout faire ressortir.”
Jean
Girel - "La sagesse du potier" - éditions JC Béhar